L’enjeux le plus important de la planète ne serait-il pas la planète elle-même ? Depuis plusieurs années, le 5 juin est officiellement désigné comme la journée mondiale de l’environnement. De nombreuses thématiques sont soulevées, différents secteurs sont visés, et le monde de l’informatique y a inévitablement sa place. Petit point sur cette journée qui met à l’honneur la préservation de l’environnement où chacun se trouve impliqué.
Le reconditionné : Créer. Réparer.
Lutte contre la destruction de la couche d’ozone, préservation des réserves d’eau, combat contre la déforestation, lutte contre la sécheresse et la montée des eaux… ainsi sont les thématiques longuement exposées durant la journée mondiale de l’environnement. Mise en place par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), cette journée permet de soulever les questions essentielles à propos de la protection de l’environnement et de la biodiversité. En lien à la restauration des écosystèmes, la journée mondiale de l’environnement prend comme thème “Réimaginer. Recréer. Restaurer.”.
Le secteur du numérique ainsi que la vente de matériel informatique ne sont pas épargnés et demeurent un sérieux fardeau pour l’environnement. Il représente 4% des émissions de gaz à effet de serre totales et pourrait doubler d’ici 2025 (source : Le Monde). C’est pourquoi il est important d’adopter des gestes éco-responsables au quotidien pour limiter la pollution virtuelle et générer des économies d’énergie. L’une des premières mesures peut être d’acheter un ordinateur reconditionné. A l’image de la thématique initiale de la journée de l’environnement, le reconditionné adopte une réflexion similaire qui souhaite créer, puis réparer.
Que consomme la fabrication d’un ordinateur ?
Si vous ne vous êtes jamais posé la question, sachez que la production d’un ordinateur nécessite des ressources énergétiques et environnementales considérables. On estime que la fabrication d’un ordinateur demande 1 500 litres d’eau ; la production d’un PC exige à fortiori 6 à 7 Gigajoules de puissance (pour une durée de vie d’environ 3 ans, la consommation énergétique d’un PC de bureau varie en moyenne entre 1,4 et 2,7 Gigajoules).
D’après greenIT.fr, un ordinateur demande 24 ans d’utilisation pour émettre autant de gaz à effet de serre que lors de sa fabrication.
Pourquoi fabriquer sans cesse de nouveaux appareils informatiques quand la majorité peuvent être réparés ? Le reconditionné n’a pas la prétention de rendre la machine aussi irréprochable que le neuf. Des défauts physiques peuvent rester visibles, or l’aspect interne du PC est amplement contrôlé et les composants sont changés si nécessaire, pour vous offrir une machine performante et parfaitement fonctionnelle.
D’où viennent les PC reconditionnés ITJustGood ?
Les ordinateurs portables reconditionnés et autres machines proposées par ITJustGood ne sont pas choisis au hasard. Tous les appareils sont issus de parcs informatiques d’entreprises souhaitant changer leur matériel. Étant utilisés par des professionnels, ces appareils sont eux-aussi de gamme professionnelle. Cette nuance est importante, car elle va influer sur les performances du PC. De fait, les ordinateurs professionnels sont des appareils de qualité supérieure aux modèles proposés dans la grande distribution. Leurs performances internes sont plus élevées, fiables et durables.
Les PC reconditionnés de gamme professionnelle souffriront moins de l’usure et n’est pas atteint par l’obsolescence programmée. Ils sont ainsi faits pour durer, en plus de bénéficier d’une seconde vie. Ces ordinateurs reconditionnés sont adaptés aux entreprises comme aux particuliers dont vous faites partie.
Le reconditionné est une très bonne solution pour limiter le gaspillage et l’empreinte carbone de la planète. A l’échelle individuelle, on compte bien d’autres petits gestes afin de réduire sa consommation d’énergie et faire du numérique un secteur moins néfaste pour l’environnement. Penser à éteindre son ordinateur la nuit ou nettoyer sa boîte mail régulièrement en sont des exemples. Nous en parlerons dans un prochain article. Alors, pensons à nous laver les mains en vue du contexte sanitaire, mais n’oublions pas notre grande planète qui a tant besoin de nos efforts.